Alors que j’écris ces quelques lignes, je me trouve à l’aéroport de Brasilia, dans l’attente de ma correspondance pour Campo Grande, d’où je pourrais prendre un bus de 5h30 en direction de Bonito. Cela fait maintenant 6 jours que je suis malade. Rien de bien grave, un rhume avec un peu de fièvre. La gorge va mieux. Mais dans ces conditions, le réveil à 3h du mat s’est révélé un peu douloureux. Arrivée prévue à 19h. C’est le genre de journée où l’on se demande pourquoi on fait ça, mais ça aussi cela fait partie intégrante du voyage. Les trésors de Bonito n’ont qu’à bien se tenir, je vais me requinquer en moins de deux et repartir à la conquête non capitaliste de ce superbe monde.
Transit
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